Le sujet est complexe, et il est délicat d’avoir un avis tranché.
Nous avons toutefois avancé, puisque, au début de nos travaux, nous nous étions interrogés en commission sur le maintien ou non des matériaux d’origine. Nous avons finalement renoncé à trancher cette question, estimant qu’il ne nous revenait pas de décider quel type de matériau devait être utilisé pour la reconstruction. Ce sont là les limites de l’exercice législatif.
À l’instar de ce que vient d’indiquer Dominique Vérien, il me semble qu’il en va de même pour la question de l’aspect visuel, et que nous ne devons pas prendre de position définitive dans cette enceinte et dans un temps relativement court. Il revient aux hommes de l’art de nous éclairer en la matière. Ils l’ont déjà fait au travers des auditions que nous avons conduites, mais je pense que le débat n’est pas terminé, et qu’il ne faudrait pas le clore en inscrivant des dispositions dans la loi.