Maintenant qu’ils ont perdu face à un ministre déterminé – ce qui n’était pas arrivé depuis des années §
« On ne peut se permettre la réforme Blanquer », disent-ils. Mais peut-être l’éducation nationale ne peut-elle se permettre ces offusqués professionnels et leurs drôles de méthodes, qui auraient fait rougir de honte leurs ancêtres les hussards noirs.
Monsieur le Premier ministre, je souhaite que vous nous assuriez de votre fermeté face aux révolutionnaires à statut protégé et de votre détermination à appliquer une réforme qui n’est pas seulement la réforme Blanquer, mais aussi celle de l’Assemblée nationale et du Sénat.