Il est bien évident que nombreux sont ceux qui s’inquiètent dans notre pays des réelles pénuries de médicaments. Les grossistes-répartiteurs, mais aussi les pharmaciens se rendent compte que ces pénuries se multiplient. Il est donc urgent d’agir.
Sur l’homéopathie, j’appelle le Gouvernement à se rendre compte de la réalité de la situation sur le terrain. Si l’homéopathie était déremboursée, le risque serait bien évidemment de mettre en place une médecine à deux vitesses. Je rappelle que l’homéopathie est très utilisée par le grand public, qui lui fait confiance pour se soigner. Il faut en tenir compte, madame la ministre.