J'avoue ne pas bien comprendre quels motifs s'opposeraient à ce que la salle où nous nous réunissons porte le nom de la première présidente de la délégation... Pour ma part, je suis d'accord avec un prix dont la remise serait annuelle. Si nous le décernons tous les trois ans, le risque est qu'il tombe assez vite dans l'oubli. L'identité d'un tel événement se construit nécessairement avec le temps. Il y a tellement de femmes dans le monde et dans nos territoires dont nous pouvons soutenir le combat par cette récompense ! Nous ne devons pas nous interdire, à mon avis, de procéder à cette cérémonie tous les ans.