En ce qui concerne l'attractivité, je crois pouvoir dire qu'elle existe. Je l'ai moi-même constatée dans mon poste précédent. Des centres d'excellence réussissent à attirer des talents.
Pour l'Ifremer, le lien avec les régions est réel. Ainsi, la région Bretagne a cofinancé la flotte océanographique à hauteur de 16 millions d'euros. Par ailleurs, il me semble très important que les universités soient pleinement associées aux TGIR, mais plutôt en tant qu'utilisatrices qu'opératrices. Nous devons écouter l'expression des besoins des universités.
Sur notre statut, le contrat d'objectifs et de performance que nous avons négocié avec l'État contient une action particulière sur la flotte et il me semble que ce mode de fonctionnement est satisfaisant.
Enfin, pouvons-nous opérer des mutualisations avec d'autres dispositifs ? Je suis un peu réservé : il existe des navires d'opportunité, mais ce n'est pas toujours possible, car cela nécessite de disposer de certaines infrastructures, parfois lourdes.