Monsieur le directeur général, mes questions portent sur les cancers liés au tabac, notamment par rapport à nos enfants, et plus particulièrement les filles. Ne faut-il pas privilégier la diminution des risques ? Le vapotage et le tabac à chauffer réduisent considérablement l'effet cancérigène du tabac consumé, même s'il reste une accoutumance par le biais de la nicotine. N'est-ce pas là un moindre risque ? Ne faut-il pas changer de stratégie ? Certains pays l'ont fait. Qu'en pensez-vous ?