Oui, en travaillant sur des commandes ministérielles pour des données extrêmement spécifiques, que les ministères sont prêts à payer. Les données que nous produisons pour le ministère des Armées ne sont pas en open data, et font l'objet d'un contrat d'environ 30 millions d'euros par an, dont la moitié nous revient. Nous continuerons à produire des données gratuites, bien sûr, puisque nous touchons une subvention de service public. Mais notre modèle économique évolue vers des données fabriquées à façon.