Le 10 juin dernier, une résolution de l'ONU a autorisé la poursuite de Sophia en Méditerranée : je m'en réjouis car une action de long terme est indispensable, surtout si l'on considère les évolutions à venir, démographiques ou climatiques. Des millions de personnes seront tentées de rejoindre le continent européen. Est-il envisageable de renégocier les quotas de relocalisation ? Le caractère hybride de Sophia, dont l'activité est à la fois militaire et humanitaire, est-il à conserver, à amplifier ?