Cette proposition de modification de l’intitulé s’inscrit dans la logique de l’ensemble des amendements qui ont été déposés par les membres de notre groupe visant à clarifier la différence des règles financières devant s’appliquer, d’une part, aux associations cultuelles et, d’autre part, aux associations non cultuelles. Trop souvent, en effet, nous observons une attitude ambiguë à l’égard du principe de laïcité : d’un côté, l’union nationale pour en glorifier le principe et, de l’autre, des contradictions au moment de sa mise en œuvre.