Je préside l'office parlementaire des choix techniques et scientifiques, où nous venons d'examiner le rapport de notre collègue député Didier Baichère sur la reconnaissance faciale, qui est un des aspects de la souveraineté numérique.
Vous êtes l'un des principaux investisseurs dans les câbles sous-marins. Dans quel esprit Facebook intervient-il dans ce domaine ? Jusqu'à présent, comme tous les opérateurs du numérique, vous utilisiez les réseaux existants. Quel est l'objectif de cette très forte implication : est-ce dans le but de disposer d'un maillage plus fin ? S'agit-il d'un manque de confiance envers les opérateurs, d'une insuffisance des services fournis ?