Le Président de la République y est très attaché. Il y va de notre diplomatie : nous pouvons avoir intérêt à dire ou ne pas dire, et c'est à nous de décider de la nécessité de communiquer nos informations.
Dans la mesure où nos partenariats sont de confiance, ils sont forcément sélectifs. La liste que j'ai présentée n'est pas exclusive, et nous avons de nombreux partenariats avec l'Allemagne, le Royaume-Uni, mais aussi les États-Unis.
Le sujet est encore en devenir. Nous avons pris la mesure des défis et nous n'entretenons aucune naïveté. Voilà pourquoi nous avons souhaité clairement énoncer que le cyber pouvait être une arme à part entière. Pour autant, tout ne doit pas être public.