Il n'y a jamais de mur de verre. On travaille ensemble, pour faire de la politique intelligente et contractuelle. L'État doit assumer une politique nationale. Je connais une exploitation vinicole bio qui est à cheval sur deux départements et deux régions ; ce ne sont pas les mêmes règles ! Ce viticulteur, par ailleurs président national des chambres d'agriculture, plaide pour que l'État continue à mener des politiques de soutien partout sur le territoire. Ce n'est pas dirigé contre les régions : on peut tout à fait travailler ensemble, et c'est d'ailleurs le rôle du comité État-régions interfonds.