Madame la sénatrice, je suis en accord avec vous sur le fait que nous avons, collectivement, trop tardé. Or plus nous tardons à assurer la maintenance des ouvrages dégradés, plus le coût pour la collectivité est important. D’où l’intérêt qu’un inventaire soit fait le plus rapidement possible et que des conventions de cofinancement partagent ensuite très clairement la responsabilité et la charge financière entre les collectivités et le gestionnaire public, à savoir VNF.
Je le redis : 4 400 des 15 400 ouvrages, soit presque un tiers d’entre eux, sont liés à des voies navigables, ce qui est tout à fait important. Nous sommes évidemment très vigilants s’agissant de vérifier que les conventions sont signées relativement rapidement, à compter du début de l’année prochaine, puisque l’arrêté devrait être pris à l’issue de la revue, qui arrive à son terme le 31 décembre prochain.