La lecture du rapport ne permet pas de saisir immédiatement les raisons qui ont poussé à l'adoption d'un tel plan - souveraineté politique, économique et de défense - au lieu de celui, plus classique, consistant à étudier les domaines dans lesquels l'État n'apparaît pas suffisamment souverain - les infrastructures ou les logiciels par exemple -, les solutions pour y remédier. Votre choix aurait, me semble-t-il, mérité davantage d'explications.