Monsieur le président, mesdames, messieurs les sénateurs, nous n’avons peut-être pas trouvé de consensus, mais nous avons fait valoir des convergences.
Sans surprise, je constate – nous l’avons tous entendu – que la question de la définition et de la mise en œuvre d’une politique migratoire dans notre pays n’appelle pas, dans cet hémicycle, comme dans celui de l’Assemblée nationale, un consensus. Au fond, personne n’en est complètement surpris : entre les positions qui ont été développées par Mme la présidente Assassi et celles qu’a fait valoir M. le sénateur Ravier, aucun consensus n’est possible. C’est un fait !