Comme je l’ai dit lors de la discussion générale, moins bien sans doute que le sénateur de Legge tout à l’heure, il s’agit avant tout d’une loi de confiance, de liberté. Nous ne créons une obligation que lorsque nous considérons ne pas avoir d’autre choix. C’est pourquoi j’ai défendu la liberté d’instituer ou pas un conseil des maires ou je me suis opposé à l’instauration d’une liste bloquée pour l’élection des vice-présidents.
Je conçois que des situations locales puissent conduire à vouloir légiférer pour les régler, mais nous légiférons pour l’ensemble du pays, et pas seulement pour Montpellier… Je vous demande de bien vouloir retirer votre amendement, monsieur Grand. Son adoption irait à rebours des décisions qui ont déjà été prises.