Dans l'urgence du moment, deux sujets dominent. L'un a trait à SFR, l'autre aux investisseurs, notamment les investisseurs publics. Sur le premier, même si l'ADLC a rendu une décision concernant SFR, des faits nouveaux apparaissent néanmoins depuis trois semaines. Graves, ils lèvent toute ambiguïté sur l'intention de nous nuire. L'ADLC ne se devrait-elle pas d'intervenir, quelque forme que prenne son intervention ? Elle pourrait agir par exemple au travers de la soft law, de déclarations, de contacts téléphoniques...