Monsieur le secrétaire d’État, la commission des affaires étrangères a de longue date prévu d’examiner les crédits de votre ministère à partir de 17 heures 15. Si un certain nombre de membres de cette commission quittent l’hémicycle dans quelques minutes, n’y voyez donc pas une marque d’indifférence au grave sujet qui nous occupe. M. Le Drian est lui aussi soumis à de fortes contraintes horaires.