La fiscalité écologique repose surtout sur les ménages les plus modestes. Peut-on imaginer un rééquilibrage entre la fiscalité sur ces ménages et la fiscalité sur les entreprises, moins importante alors qu'elles sont très émettrices en carbone, sans pour autant détériorer leur compétitivité ?
On parle beaucoup de taxation, mais une forme de fiscalité positive pour les modes de transport doux, et notamment pour le transport fluvial, pourrait être envisagée.