Je déplore depuis longtemps le fait que la loi s’adapte souvent à un état de fait. Des gens s’octroient des libertés et on essaye d’arranger les choses pour les faire entrer dans une sorte de cadre.
Je suis la première à défendre l’accès à la culture, mais ce n’est malheureusement pas la question. Lors d’une rave-party dans ma commune de Cerdon, dans l’Ain, cent dix voitures étaient garées en épi pour empêcher l’accès des forces de l’ordre et, de fait, des pompiers.