Vos réponses aux questions de François Bonhomme et de Marie-Pierre de la Gontrie me laissent pantoise et abasourdie. Ce n'est certes pas une note, c'est un courriel, mais il est terriblement révélateur de l'esprit dans lequel travaillent les cabinets. Cet état d'esprit vous satisfait-il au point que vous ne bougiez rien dans l'organisation ?
Par ailleurs, vous avez dit que ces éléments ne visaient pas à justifier la réforme, mais à étudier la manière dont on communiquerait sur la réforme. C'est très intéressant : est-ce à dire que la communication est plus importante que le bien-fondé de la réforme ?
Les éléments qui figurent dans ce courriel - qui n'est donc pas une note - pourraient-ils vous encourager à accroître la fracture territoriale là où l'électorat vous est moins favorable et à favoriser les lieux où l'électorat vous est plus favorable ?