Monsieur le rapporteur général, cette annulation porte uniquement sur la réserve de précaution.
En sus de l’opération proposée en projet de loi de finances rectificative, nous opérons des mouvements de masse salariale sur d’autres lignes. Au final, nous sommes dans l’étiage et dans les montants de la réserve de précaution. Aucun financement de projet sur lequel l’État s’est engagé n’est donc remis en cause.
Par ailleurs, la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris sera conduite par un nouvel établissement public – la loi a été votée en ce sens –, en très grande partie financé par des fonds privés. À ce stade, il n’est par conséquent pas encore nécessaire d’inscrire le moindre crédit.
Vous avez enfin évoqué une forme de parallélisme entre le montant des crédits du loto du patrimoine et le montant des crédits que nous proposons d’annuler. C’est le fruit du hasard…