Nous proposons que l’État et le Gouvernement ne puissent engager plus de 500 000 euros pour promouvoir une privatisation sans qu’une disposition législative expresse l’y autorise.
Selon ce qui a été indiqué à l’Assemblée nationale, les coûts engagés par la Française des jeux en faveur de son marketing ont augmenté de 6 % durant le premier semestre de cette année, portant à 138 millions d’euros cette ligne de dépenses.
Cet amendement possède une portée symbolique. Des sommes importantes, de l’argent public jusqu’à présent, ont été consacrées à la vente d’un bien commun. Cela nous semble quelque peu baroque.