Monsieur le président, il peut arriver que ma lecture des faits diffère de la vôtre. En tout cas, elle ne me conduit pas à penser que, au moment où vous avez quitté les affaires, tout allait mieux !
J’ai plutôt le sentiment – peut-être n’est-ce qu’une impression – que les Français ont exprimé leur accord avec ma lecture des faits. Or, comme je suis comme vous un démocrate, j’écoute ce que disent les Français, avec beaucoup d’attention.