Cette plate-forme d'écoute est gérée par une association, Fédération nationale solidarité femmes (FNSF). Nous connaissons les contraintes du code des marchés publics : un appel d'offres semble nécessaire pour permettre à cette association de continuer à exercer ses missions tout en offrant un accueil 24 heures sur 24, sept jours sur sept. La secrétaire d'État se félicite que la notoriété de ce numéro ait beaucoup augmenté au cours de la période récente. Pour ma part, je ne suis pas convaincue que cela suffise à venir à bout des violences conjugales...