Notre projet s'inscrit dans une logique de suivi. Rappelons-le, le Grenelle n'est pas terminé depuis le 25 novembre. Nous devons veiller, dans nos territoires respectifs, à faire durer la dynamique favorable qu'il a suscitée contre les violences conjugales. Il nous appartient de faire connaître les échos du terrain que nous pouvons réunir dans nos départements auprès des acteurs engagés contre les violences. Une initiative telle que Monshérif, dont je parlais tout à l'heure, ne doit pas rester inconnue. C'est à nous de faire vivre de telles innovations. C'est à nous aussi de faire savoir, inversement, ce qui ne marche pas !