Même si je comprends la logique de l'amendement n° 1 de Jean-Yves Leconte, qui prévoit de supprimer la préservation du secret professionnel pendant les auditions dites « de l'article 13 », celui-ci mériterait toutefois d'être replacé dans une réflexion plus globale sur le contrôle parlementaire. Je rappelle que le secret professionnel est également opposable aux commissions d'enquête. Aussi, je suis défavorable à cet amendement.