Concernant l'Albanie, le point de vue français était partagé par le Danemark et les Pays-Bas. En revanche, la France était officiellement isolée pour ce qui est de la Macédoine du Nord. Le découplage des deux dossiers n'aurait pas permis de surmonter la difficulté, un certain nombre d'États membres refusant cette perspective.
Les réactions de nombreux États membres et de la Commission ont été vives, le Président Juncker parlant même « d'erreur historique ».