L'enseignement français à l'étranger ne doit pas être réservé à une élite, d'autant que celle-ci semble de moins en moins attirée par cet enseignement : j'ai ainsi rencontré des Libanais qui considéraient que le français était une langue morte et qu'il valait mieux scolariser leurs enfants dans l'enseignement anglophone. Il ne faut pas rester sur les seules élites, sinon nous courons à l'échec. Comment toucher un grand nombre d'élèves, de tous les niveaux y compris dans des cursus techniques et technologiques ?