L'enjeu est politique, en effet. Nous restons pour éviter le pire. Pour sortir par le haut, il faut améliorer la gouvernance locale. Je connais bien le Mali, pour lequel j'ai une grande sympathie, d'autant qu'il a longtemps symbolisé, pour nous, un espoir, une capacité à s'en sortir, voire même une bonne gouvernance - mais tout cela est déjà loin. Pouvons-nous contribuer à régler cette question de la bonne gouvernance, qui est prioritaire par rapport aux enjeux démocratiques ?