Merci pour votre intervention, plus politique et même philosophique que militaire. La responsabilité est celle des politiques, en effet. Vont-ils enfin se montrer capables de résister à la dictature de l'émotion et du court terme pour s'attacher à la raison et au long terme ? Après l'Irak, le Kosovo, l'Afghanistan, nous allons de nouveau remettre le couvert. Vous dites que la solution ne peut être que politique. Je pense qu'elle sera avant tout économique, sociale, éducative. Ne devrions-nous pas doubler notre intervention militaire d'un effort considérable en ce sens ?