Intervention de Robert del Picchia

Commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées — Réunion du 22 janvier 2020 à 9h30
Bilan et perspectives de l'opération barkhane — Audition du général d'armée 2s didier castres ancien sous-chef opérations à l'état-major des armées

Photo de Robert del PicchiaRobert del Picchia :

J'ai assisté à une réunion de l'Union interparlementaire où le président du Niger a expliqué avec virulence que, si la lutte contre le terrorisme passait par la force armée - merci la France - celle-ci n'était pas suffisante. Il affirmait que seuls le Niger et le Tchad faisaient ce qu'il fallait, et que les autres pays étaient à la traîne. Si nous ne progressons pas militairement, disait-il, tout peut s'écrouler dans trois mois. Ce danger est-il réel ? Les Chinois, prudents, n'ont pas pris position. Les Européens n'ont guère manifesté d'enthousiasme. Et le président nigérien de rappeler que, si la France arrête, tous ces pays tomberont...

Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cette intervention.

Inscription
ou
Connexion