Je pense qu'il sera très intéressant pour notre commission de suivi du Brexit de vous revoir durant cette période des dix mois, à mi-chemin pour examiner les avancées réalisées sur tous les sujets que nous avons évoqués aujourd'hui, et dans dix mois, à l'approche de décembre 2020. Je suis inquiet. Je ne vois pas comment nous pouvons tout traiter. Le rapport listant les sujets à traiter fait 553 pages. Le nombre de sujets est colossal. Je crains que nous n'arrivions pas à les traiter et que des priorités soient établies. Or je fais beaucoup plus confiance à notre négociateur Michel Barnier qu'à Boris Johnson qui sera tenté de prioriser les sujets les plus importants pour lui. Michel Barnier doit venir nous voir en avril, mais je crains qu'il ne se soit pas passé grand-chose à ce moment-là. Nous serions donc ravis de refaire un point avec vous à mi-parcours.