C'est la mission du réseau de l'Andiss ou, à défaut, du conseiller sport du département.
Concernant la radicalisation, je ne crois pas au national du fait de ce que j'appelle la « consanguinité sportive ». C'est avec le réseau de l'Andiss qu'il faut faire ce contrôle de légalité au niveau local. Vous disposez des outils nécessaires et vous êtes mieux renseignés que les fédérations pour le faire.
Je ne pense pas qu'il faut cesser de subventionner les associations. Il faut au contraire les accompagner, ou alors il faut assumer de fermer le club.
Un autre problème est que les associations ont tous les droits. Vous parliez de formation. Dans le cadre des formations que j'organise, je suis référencé à la Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi (Direccte), par DataDock et bientôt par Qualiopi. Or je suis en concurrence sur des marchés publics avec des associations qui n'ont rien de tout cela. Il ne faut pas avoir peur des gens qui proposent des modules de formations à partir du moment où ils respectent les chartes de qualité qui émanent des travaux parlementaires.