Je félicite mon collègue pour cette observation. J'avoue être tombé sur mon derrière lorsque j'ai pris connaissance de cette proposition de loi constitutionnelle, eu égard à la discussion fructueuse que nous avions eue quelques jours auparavant. Je suis extrêmement choqué - mes propos sont modérés. À quelle époque vivons-nous ?
Je ne comprends pas que l'on s'engage dans une certaine direction, qui me paraissait très bonne, et que l'on en change. Certes, tous les groupes sont libres de faire ce qu'ils veulent, mais vous êtes quand même le président de ce groupe de travail.