M. Philippe Mouiller. Monsieur le Premier ministre, j’ai écouté attentivement votre réponse. J’ai entendu les bons points que vous vous attribuez – j’en partage un certain nombre. Le plus important, je crois, c’est l’ambiance générale, le sentiment qu’éprouvent les Français, la confiance – mot essentiel car, pour pouvoir réformer le pays, il est fondamental que les Français aient le sentiment qu’il n’y a pas de fossé entre eux et ceux qui les gouvernent. La confiance est essentielle ; sans elle, vous n’arriverez à rien !