Vous avez fait état des trois grands types de ressources des universités - les dotations, les droits d'inscription et les ressources propres - en formulant un réel espoir quant à l'augmentation de ces dernières. Ne craignez-vous pas que cette perspective n'aggrave les inégalités entre les sciences dures plus aptes à trouver des partenariats avec le monde de l'entreprise, et les sciences humaines où les relations avec le monde du travail peuvent s'avérer plus difficiles à nouer ?