Je remarque qu'au fil de la discussion, les opinions se sont un peu durcies sur cet avis politique. N'oublions pas que notre commission doit elle-même défendre l'usage du français. Nous avons parfois des interlocuteurs de pays non-anglophones qui viennent s'exprimer en anglais, leurs propos étant traduits en français.
Ne pourrait-on pas imposer que ces auditions devant notre commission soient réalisées dans la langue du pays ou en français ? La traduction est une contrainte surmontable.