Quel est le point de vue de nos collègues français au Parlement européen sur cette question ?
Je m'interroge sur l'intérêt de l'Union européenne à ne pas utiliser davantage une langue qui, en 2050, devrait être la troisième ou quatrième langue la plus parlée dans le monde. Pourquoi l'Union Européenne se dépossède-t-elle d'une langue qui pourrait être une passerelle supplémentaire pour déployer son action et son rayonnement ?