Votre troisième question a trait aux mesures franco-françaises. Même si ce n’est pas moi qui prends les décisions, je peux prendre un engagement, car le Président de la République a été clair sur ce point : pas de nouvelles normes, pas de nouveau boulet au pied de nos agriculteurs. Il faut absolument laisser les choses se faire.
Quant à l’article 44 de la loi Égalim, essayons de l’appliquer le mieux possible. Cela passe d’abord – c’est ma position – par la recherche du meilleur équilibre au niveau européen.