Monsieur le ministre, je vous remercie pour votre réponse.
Je ne cherche pas à alimenter un discours systématiquement alarmiste sur le sujet, même s’il est vrai que je suis la troisième oratrice à parler de cette problématique cet après-midi. Il se trouve simplement que, dans beaucoup de territoires – et vous le savez d’ailleurs –, les difficultés des éleveurs sont réelles et accentuées par la suppression des zones défavorisées simples. Il y a donc urgence à aider l’élevage en France, notamment les éleveurs de ces territoires.