Non, 2025 !
Je ne sais pas si nous en serons à 12 %, 15 % ou 16 %. À vrai dire, peu importe ! Ce qui compte, c’est la trajectoire. Or, aujourd’hui, celle-ci est en place. Certes, l’ITAB connaît des difficultés, mais son premier financeur est l’État, qui lui a encore versé 1 million d’euros. Dans le COP (contrat d’objectifs et de performance) des chambres d’agriculture, sur lequel nous travaillons, les efforts seront axés sur ce domaine.
Je suis au regret de vous dire que ce que vous avez écrit n’est pas la vérité. Je suis prêt à venir en commission des finances ou à en parler avec vous pour que nous confrontions nos données, car il n’y a rien de pire que de partir sur de mauvais chiffres.