Monsieur le ministre, je vous remercie de votre réponse précise, qui a en effet l’accent de la sincérité.
Au-delà de leurs retraites, vous le savez parfaitement, nos agricultrices souhaitent une seule chose : enfin obtenir un vrai statut social ! Percevoir 85 % du SMIC, ce n’est pas une grande revendication. Je m’adresse à nos deux collègues communistes présents dans l’hémicycle : voilà deux ans, nous aurions pu voter cette première étape. Or nous ne l’avons pas votée, faute d’accord avec le Gouvernement.
Monsieur le ministre, nous sommes à votre disposition pour trouver des améliorations sans attendre la fin des discussions sur les retraites.