L'Office national des forêts est en pleine déshérence. Il n'est pas nécessaire d'en rajouter en favorisant encore davantage la privatisation de cet office, qui ne joue pas seulement un rôle de marchand de bois et de fournisseur de revenus aux collectivités et à l'État. Il ne faut toucher à l'ONF que d'une main tremblante ! C'est la raison pour laquelle nous avons déposé l'amendement COM-93.