Monsieur le ministre, je crois qu’il est d’ores et déjà nécessaire d’apprendre des grandes crises mondiales qu’ont été le SRAS, le H1N1 et, aujourd’hui, le coronavirus.
Ces pandémies risquent de devenir beaucoup plus fréquentes à l’avenir. La question que j’ai posée – vous y avez en grande partie répondu – est celle de notre souveraineté pharmaceutique. Elle nécessitera des efforts industriels et économiques considérables, car elle est absolument cruciale.