Je vous entends, madame le secrétaire d’État, et j’espère que vous avez pris toutes les mesures nécessaires pour que nos fleurons restent français et pour que Bpifrance soit et demeure toujours l’unique décideur dans ce dossier.
Je regrette que les épargnants français ne puissent participer à l’alimentation de ce fonds et, ainsi, contribuer au patriotisme économique par l’investissement.
J’espère enfin que vous ne nous décevrez pas sur ce dossier, comme vous avez pu le faire avec l’abandon de la taxation des géants de l’internet, les GAFA, ou sur la question, pourtant essentielle, du redressement des finances publiques.