J'ai dû mal m'exprimer ; je n'ai pas dit que les six prochaines années devraient être consacrées à des discussions entre les maires. Au contraire, il y a urgence. Les projets sont en train d'avancer et l'on ne peut pas perdre six ans à attendre une gouvernance. Le chantier a pris tellement d'avance qu'il est nécessaire de trouver des espaces de conversation. Ne perdons pas cinq ans à élaborer des outils de planification, car les enjeux auront déjà évolué entretemps et les planifications seront devenues obsolètes !