Nous avons bénéficié d'un financement d'abord par le fonds interministériel de prévention de la délinquance (FIPD), puis via une convention nationale avec le CIPDR, qui audite toutes nos dépenses. Nous pouvons vous communiquer le montant de cette convention - mais nous ne les avons pas dépensés, et nous ne les dépenserons pas, car nous ne parvenons pas à mettre en place les actions. Nous recevions beaucoup moins du FIPD, le portage financier étant fait par le service de formation continue de l'université de Strasbourg.
Le CIPDR nous a dit : vous dupliquez en Île-de-France. Mais nous nous heurtons à l'impossibilité de le faire.
Vous évoquez Louis de Funès ; je me vois plutôt comme Buster Keaton ! Pour autant, ni notre formation ni nos interlocuteurs ne sont de cet ordre. En tant qu'association, nous sommes effectivement une goutte d'eau dans beaucoup de dispositifs. Mais ce qui n'est pas une goutte d'eau, c'est le dispositif de formation que le doyen Gounelle et moi-même vous présentons. Nous voudrions le voir testé à grande échelle, et ce n'est pas le cas.