Gilles Roussel, président de la Conférence des présidents d'université :
J'ai été confronté aux mêmes questionnements lors d'une réunion de mon comité technique : une circulaire donne aux établissements la possibilité de prendre en compte des fêtes religieuses qui ne figureraient pas dans le calendrier.
Dans l'administration, ils ne se gênent pas : c'est un jour de congé en plus pour fêter telle fête religieuse non officielle. Du coup les croyants très modérés, même des athées..., se réclament de la religion pour avoir un jour de congé en plus. C'est d'ailleurs une forme de prosélytisme institué par l'administration elle-même. Quant à la laïcité, ce n'est plus qu'un souvenir du passé.
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Le 13/05/2022 à 21:54, aristide a dit :
Dans l'administration, ils ne se gênent pas : c'est un jour de congé en plus pour fêter telle fête religieuse non officielle. Du coup les croyants très modérés, même des athées..., se réclament de la religion pour avoir un jour de congé en plus. C'est d'ailleurs une forme de prosélytisme institué par l'administration elle-même. Quant à la laïcité, ce n'est plus qu'un souvenir du passé.
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