Monsieur le secrétaire d’État, nous venons de vous donner les moyens d’agir. L’art de la guerre, c’est l’art de l’exécution. C’est dans ce cadre que nous pourrons servir, en étant informés régulièrement, mais aussi en vous faisant remonter ce que nous observerons sur le terrain. En effet, vous aurez aussi besoin d’une information très précise sur ce qui va se passer. C’est dans l’exécution que l’on verra la qualité des décisions que nous avons prises.